Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

pére robert thirion - Page 2

  • WEEK-END TRES TERROIR A VANVES ENTRE JOIE ET CONVIVIALITE, NOSTALGIE ET TRISTESSE MAIS PLEIN D’ESPOIR !

    Si une couleur devait dominer ce week-end du terroir vanvéen, ce fut le gris à cause de la disparition du pére Thirion qui a attristé quelque peu les journées d’Amitiés de St Remy. Le pére Vincent Hauttecoeur, curé de Vanves, a passé une partie de sa journée de Vendredi à rencontrer sa famille et à préparer la veillée de prière de mardi prochain  et la messe du lendemain. Il a signé un éditorial dans le «Sel et Lumiére » de ce week-end, titré « Merci ! » : « Le pére Thirion était, pour moi, jeune prêtre et curé, un exemple de vie toute donnée aux autres, toute donnée dans la prière et toute donnée dans son ministère » écrit il en concluant : « Je n’ai qu’un mot et cela n’est rien au regard de tout de qu’il a pu nous donner et nous apprendre : Pére Thirion, que Dieu vous accueille dans sa maison et vous garde en Paix ».  

    Le village des terroirs a été inauguré sous la pluie avec beaucoup de vanvéens malgré tout pour déguster quelques produits offerts par les exposants. Il faut rappeler que Nabiha Attia, conseillère municipale, décédée tout récemment,  est à l’origine de ce village des terroirs qu’elle a lancée avec le soutien du maire lorsqu’elle était chargée du commerce et de l’artisanat.   A l’époque, peu de personne y croyait, alors qu’il était organisé pour la première fois voilà 9 ans, sur l’ancienne place de la République. C’est finalement à partir de son réaménagement que ce village des terroirs a pris son envol. Un village des terroirs atypique, comme l’a reconnu l’un des artisans en confiant au Maire : « c’est le seul où nous sommes accueilli par les organisateurs, où ils nous donnent un coup de main pour décharger le Vendredi ». C’est finalement la convivialité dans son organisation et son déroulement qui les fait revenir à Vanves et y être fidéle.

    Pendant ce temps là, les écologistes lançaient leur campagne dans le square du métro en distribuant du vin chaud et un bol de soupe : Autour de Lucile Schmid, Claire Papy, Pierre Toulouse, Marc Lipinski, ils invitaient les vanvéens à inscrire sur une grande feuille de papier posé sur une table,  leurs propositions, leurs souhaits pour permettre la transition écologique et sociale de Vanves. « C’est la 3éme fois que nous présentons une liste pour incarner une autre vision du monde » expliquait Marc Lipinski.  Le lendemain, ils étaient sur la place de l’Insurrection devant la poste alors que les socialistes étaient sur la place du VAL (De Lattre de Tassigny) jusqu’à midi, où ils ont rejoint le pot offert par le Syndicat d’Initiative sous un soleil bienvenue. Mais point d’élus Verts là où il fallait se trouver, comme les élus UMP et UDI en grand nombre. Ils se sont d’ailleurs retrouvés l’après midi pour un goûter  avec la remise des prix pour les balcons illuminés ( 6 en pavillons, 11 en immeubles et 2 vitrines de commerçants). Au carrefour Albert Legris lorsque vous arrivez de l’avenue Victor Hugo, levez la tête au feu rouge, il y a un superbe balcon illuminé dans l’immeuble situé derrière l’agence bancaire (Société Générale). Enfin, le pére Noël de Vanves a reçu 90 lettres selon les responsables du Syndicat d’Initiative qui ont été récompensé.

    Juste avant cette remise des prix, le maire avec quelques élus, a participé au 1er anniversaire et à l’inauguration du CAP qui a été ouvert dans l’ancienne boulangerie de la rue Vieille forge. Une initiative née du Groupe d’Entraide Mutuel (GEM) créé lors de l’ouverture par l’association Simon de Cyréne de l’appartement partagé de l’avenue du Général de Gaulle.  « Nous avons commencé dans les locaux de Simon de Cyréne avant de s’installer là ». Et le CAP vit grâce à ses adhérents qui « apportent leur aide et leur allégresse », venant de la résidence Simon de Cyréne comme de l’extérieur, pour participer à de multiples activités, des jeux de société à des ateliers cuisine jusqu’à des visites et excursions où l’handicap n’est en aucune sorte une barrière. Bernard Gauduchean, Françoise Saimpert, Cyril Le Goff ont coupé le gâteau d’anniversaire avec Laurent de Cherisey après les discours et la projection d’un petit film sur le CAP : « A Vanves, on aime les références maritimes. On a le PHARE, l’ESCAL, et le CAP. C’est un point d’appui, d’ancrage pour construire et développer le « vivre ensemble » qui est une caractéristique de notre ville » a-t-il expliqué. « A Simon de Cyréne, on sait que la vie est fragile. On ne met pas de masques. On donne la possibilité d’être nous même. ON fait grand à Simon de Cyréne, car on n’a pas peur de faire grand » a ajouté Laurent de Cherisey. Le Blog de Vanves aura l’occasion de revenir ce CAP en poussant, comme ils invitent les vanvéens à le faire, la porte du CAP pour passer un moment avec eux…très enrichissant 

    Cette convivialité se sentait aussi aux journées d’Amitiés de Saint Remy où nos élus se sont rendus en fin d’après midi  et revenus le lendemain Dimanche, pour acheter le « Miel du curé » ou déguster des huîtres, et prendre un petit verre de kir. Certains sont entrés dans l’église pour admirer le nouvel orgue qui a été installé sur la tribune durant la semaine. Pendant la messe dominicale, Vincent Hauttecoeur a axé son sermon sur la joie, théme ou illustration  de ce Noël, quelque peu ternie par la disparition du pére Thirion qui était au centre de toutes les conversations, mais qui n’aurait pas voulu que l’on soit triste, car comme en témoigne notre curé « il prenait du temps, chaque jour à l’oratoire de St Remy, pour cette rencontre avec Dieu ; ce qui le nourrissait et le comblait de joie. Il rayonnait de cette joie de Dieu ». Une paroissienne très proche de lui, et qui l’a vu Samedi sur son lit de mort, parlait du visage du pére Thirion, rajeuni, paisible, serein, en paix    

  • ROBERT THIRION « NOTRE PERE DE VANVES » NOUS A QUITTE

    Robert Thirion, « notre pére de Vanves »,  s’est éteint à la veile de ses 92 ans, dans nuit de Jeudi à Vendredi.  Tous les vanvéens se souviennent de ces mots du maire de Vanves, « Vous êtes un pére pour nous tous, car vous nous apportez espoir et bonheur », pour son véritable départ à la retraite, à  90 ans tout de même, voilà deux ans. C’est toute la communauté paroissiale de Vanves, et sûrement au-delà, qui lui est éternellement reconnaissante  pour ces belles années passées parmi les vanvéens. Et ils en témoigneront sûrement Mardi soir lors de la veillée (à 20H30) et lors de ses obséques, Mercredi prochain (à 10H) à Saint Remy.


    Ce « gamin de Paris » ordonné prêtre un 21 Juin 1961 à la Cathédrale Notre Dame de Paris,  a habité pendant les trente premières années de sa vie à la limite Nord de Paris en face des fortifs prés des lignes de chemins de fer portant vers l’Est et le pont de Flandres. Il a connu les Octrois, les abattoirs de la Villette, le canal de l’Ourcq, le bassin de la Villette… « Mes différents ministéres en banlieue sud m’ont fait passer de la rive droite à la rive gauche, mais ils ne m’ont pas empêché de rester toujours un vieux parisien » confiait il. Il a été pupille de la Nation après la mort de son pére, ancien combattant de 14-18, auquel il portait un grand amour. C’est d’ailleurs  peu de temps après qu’il situe sa conversion et le point de départ de sa vocation sacerdotale, lorsque, lors d’un séjour, avec des amis, il se retrouve seul dans une île encerclée par les deux bras d’une riviére qu’il dénommera « l’île aux trésors » : « Ce fut l’état de grâce. Je tombais à genou. Je me suis mis à prier. J’ai beaucoup pensé à mon pére. J’étais décidé à changer de vie, plus exactement de mener ma vie au lieu de me laisser mener par ce que Pascal nommait divertissement ».   

     

    Etudiant à l’Ecole Normale d’Instituteur (en 1937), il a effectué ses premières années d’instituteur dans une école du Bourget entre Février et Juin 1940, mais il se retrouva vite en ce début d’été sur les chemins de l’exode. Il fait même parti des rares français qui ont entendu l’appel du 18 Juin du Général de Gaulle dans un restaurant où il avait passé la nuit couché sur le plancher. Après l’armistice et à la Rentrée de Septembre 1940, il était nommé à Pantin où il est resté rattaché toute sa carrière d’enseignant de 1940 à 1946, avant d’entrer au séminaire de Saint Sulpice à Issy les Moulineaux. C’est durant toute cette période de l’occupation que sa vocation a mûrie grâce à Pierre et son épouse Jeanne, à Paul, tous normaliens comme lui, et qu’il a commencé à découvrir la théologie. Il a bien sûr cherché pendant l’occupation à échapper au STO en essayant de rejoindre la zone libre sans succés, réussissant quand même à se faire nommer en 1943 pour s’occuper des enfants parisiens éloignés à cause des bombardements.

     

    Il a vécut une trentaine d’années à Issy Moulineaux, où il a connu  tout d’abord sa période Bleu à Saint Etienne, échappant à un poste de préfet dans un collége catholique, mais pas au rôle d’aumônier pour de nombreux groupes de jeunes de cette paroisse, rassemblés au sein des scouts, guides, J.O.C., sans parler des cathéchismes, des écoles libres d’Issy. « Tout était bleu, nous nous retrouvions entre jeunes prêtres autour du pére Liége et d’autres animateurs du renouveau théologique ou pastoral, entre aumoniers de secteur de la J.O.C, de l’ACO…Nous repensions l’église, indépendamment de vieilles structures que nous supportions plus ou moins bien ». Le curé de Saint Etienne le fit nommer responsable de la chapelle de Saint Bruno sur les hauteurs d’Issy à côté du fort et prés des futurs ZAC Rodin avec ses tours et quartier des Epinettes. Ce fut sa période Rose de la couleur des briques de la chapelle qui avait été confiée jusque là aux fréres de la Charité, pendant 12 ans. Il a ainsi côtoyé une population cosmopolite, composée d’italiens, de portugais, d’espagnols, d’arméniens, les familles des gardes mobiles, des ingénieurs militaires, des infirmiéres de l’hôpital Percy. « Du Presbytére, moderne et confortable, nous avions une vue panoramique sur Paris et nous avons souvent prié, au cours des chemins de croix du venndredi saint dans les rues du quartier en contemplant les lumières de la ville ». Il y vécut Mai 1968 « alors que les gardes mobiles s’affrontaient avec leurs fils, étudiants ».

     

     

    Mais il a surtout rencontré les répercussions de Mai 68 lorsqu’il a rejoint l’équipe sacerdotale de Malakoff en 1971 à Notre Dame de la Médaille Miraculeuse. Ce fut sa période Fauve  par rapport aux deux précédantes, « car mes confréres qui prenaient plaisir à s’affronter comme des lions, au cours des réunions d’équipe hebdomadaire étaient, chacun à sa manière, des pasteurs très généreux, et très missionnnaires. Mais les coups de griffres étaient fréquents entre eux » raconte t-il. Elle fut suivie d’une période Verte aux Blagis en 1984 où il est resté 10 ans.Vanves fut sa période Rouge et Or, « pour les enfants, pour le soleil couchant. C’est la période de la retraite, depuis plus de 18 ans » confiait t-il à l’auteur de ce blog. Ne disait il pas dans ce texte paru le 2 Mai 2010 dans Sel et Lumière et titré : « Prêtre toujours….Laïc encore »: « C’est dans ce peuple de Dieu que je veux être prêtre pour toujours parce que ce peuple des faubourgs et des banlieues parisiennes a toujours porté mon sacerdoce. Que serais-je sans vous ? Vous m’avez aidé et vous m’aiderez encore à être, à la suite de Jésus, « un homme pour les autres ». C’est si difficile, aussi bien pour un laïc, une religieuse ou un prêtre ! ». Ce qu’une grande majorité  de vanvéens  appréciait chez ce pére, c’est son humanité qui le conduisait à rendre à l’aise croyants ou non croyants, bouffeurs de curé comme grenouilles de bénitiers, lors de cérémonies joyeuses (mariages, baptêmes) que malheureuses (obséques) par des paroles toujours touchantes dont la plupart ressorte avec le souvenir d’avoir rencontré un saint homme

  • ROBERT THIRION « NOTRE PERE DE VANVES » PREND VRAIMENT SA RETRAITE

    « Vous êtes un pére pour nous tous, car vous nous apportez espoir et bonheur » avait déclaré le maire de Vanves pour les 90 ans du Pére Thirion auquel toute la ciommunauté paroissiale de Vanves dira  aujourd’hui toute sa reconnaissance pour ces belles années passées parmi les vanvéens. Car Robert Thirion, « notre pére de Vanves » a vraiment pris sa retraite depuis quelques semaines, en ne résidant plus à la maison paroisssiale de Saint Remy, mais dans une maison de retraites du côté de Denfert Rochereau. Ce qui ne l’empêche pas d’être encore présent à Vanves pour des cérémonies, des célébrations. 

     

    C’est une page qui se tourne pour ce « gamin de Paris » ordonné prêtre un 21 Juin 1961 à la Cathédrale Notre Dame de Paris. Il a habité pendant les trente premières années de sa vie à la limite Nord de Paris en face des fortifs prés des lignes de chemins de fer portant vers l’Est et le pont de Flandres. Il a connu les Octrois, les abattoirs de la Villette, le canal de l’Ourcq, le bassin de la Villette… « Mes différents ministéres en banlieue sud m’ont fait passer de la rive droite à la rive gauche, mais ils ne m’ont pas empêché de rester toujours un vieux parisien » confie t-il. Il a été pupille de la Nation après la mort de son pére, ancien combattant de 14-18, auquel il portait un grand amour. C’est d’ailleurs  peu de temps après qu’il situe sa conversion et le point de départ de sa vocation sacerdotale, lorsque, lors d’un séjour, avec des amis, il se retrouve seul dans une île encerclée par les deux bras d’une riviére qu’il dénommera « l’île aux trésors » : « Ce fut l’état de grâce. Je tombais à genou. Je me suis mis à prier. J’ai beaucoup pensé à mon pére. J’étais décidé à changer de vie, plus exactement de mener ma vie au lieu de me laisser mener par ce que Pascal nommait divertissement ».   

     

    Etudiant à l’Ecole Normale d’Instituteur (en 1937), il a effectué ses premières années d’instituteur dans une école du Bourget entre Février et Juin 1940, mais il se retrouva vite en ce début d’été sur les chemins de l’exode. Il fait même parti des rares français qui ont entendu l’appel du 18 Juin du Général de Gaulle dans un restaurant où il avait passé la nuit couché sur le plancher. Après l’armistice et à la Rentrée de Septembre 1940, il était nommé à Pantin où il est resté rattaché toute sa carrière d’enseignant de 1940 à 1946, avant d’entrer au séminaire de Saint Sulpice à Issy les Moulineaux. C’est durant toute cette période de l’occupation que sa vocation a mûrie grâce à Pierre et son épouse Jeanne, à Paul, tous normaliens comme lui, et qu’il a commencé à découvrir la théologie. Il a bien sûr cherché pendant l’occupation à échapper au STO en essayant de rejoindre la zone libre sans succés, réussissant quand même à se faire nommer en 1943 pour s’occuper des enfants parisiens éloignés à cause des bombardements.

     

    Il a vécut une trentaine d’années à Issy Moulineaux, où il a connu  tout d’abord sa période Bleu à Saint Etienne, échappant à un poste de préfet dans un collége catholique, mais pas au rôle d’aumonier pour de nombreux groupes de jeunes de cette paroisse, rassemblés au sein des scouts, guides, J.O.C., sans parler des cathéchismes, des écoles libres d’Issy. « Tout était bleu, nous nous retrouvions entre jeunes prêtres autour du pére Liége et d’autres animateurs du renouveay théologique ou pastoral, entre aumoniers de secteur de la J.O.C, de l’ACO…Nous repensions l’église, indépendamment de vieilles structures que nous supportions plus ou moins bien ». Le curé de Saint Etienne le fit nommer responsable de la chapelle de Saint Bruno sur les hauteurs d’Issy à côté du fort et prés des futurs ZAC Rodin avec ses tours et quartier des Epinettes. Ce fut sa période Rose de la couleur des briques de la chapelle qui avait été confiée jusque là aux fréres de la Charité, pendant 12 ans. Il a ainsi côtoyé une population cosmopolite, composée d’italiens, de portugais, d’espagnols, d’arméniens, les familles des gardes mobiles, des ingénieurs militaires, des infirmiéres de l’hôpital Percy. « Du Presbytére, moderne et confortable, nous avions une vue panoramique sur Paris et nous avons souvent prié, au cours des chemins de croix du venndredi saint dans les rues du quartier en contemplant les lumières de la ville ». Il y vécut Mai 1968 « alors que les gardes mobiles s’affrontaient avec leurs fils, étudiants ».

     

    Mais il a surtout rencontré les répercussions de Mai 68 lorsqu’il a rejoint l’équipe sacerdotale de Malakoff en 1971 à Notre Dame de la Médaille Miraculeuse. Ce fut sa période Fauve  par rapport aux deux précédantes, « car mes confréres qui prenaient plaisir à s’affronter comme des lions, au cours des réunions d’équipe hebdomadaire étaient, chacun à sa manière, des pasteurs très généreux, et très missionnnaires. Mais les coups de griffres étaient fréquents entre eux » raconte t-il. Elle fut suivie d’une période Verte aux Blagis en 1984 où il est resté 10 ans.Vanves fut sa période Rouge et Or, « pour les enfants, pour le soleil couchant. C’est la période de la retraite, depuis plus de 18 ans » confiait t-il à l’auteur de ce blog. Ne disait il pas dans ce texte paru le 2 Mai 2010 dans Sel et Lumière et titré : « Prêtre toujours….Laïc encore »: « C’est dans ce peuple de Dieu que je veux être prêtre pour toujours parce que ce peuple des faubourgs et des banlieues parisiennes a toujours porté mon sacerdoce. Que serais-je sans vous ? Vous m’avez aidé et vous m’aiderez encore à être, à la suite de Jésus, « un homme pour les autres ». C’est si difficile, aussi bien pour un laïc, une religieuse ou un prêtre ! ». Ce qu’une grande majorité  de vanvéens  apprécie chez ce pére, c’est son humanité qui le conduit à rendre à l’aise croyants ou non croyants, bouffeurs de curé comme grenouilles de bénitiers, lors de cérémonies joyeuses (mariages, baptêmes) que malheureuses (obséques) par des paroles toujours touchantes dont la plupart ressorte avec le souvenir d’avoir rencontré un saint homme.